Six ans après « Ça commence mal…», Tomas
Grand revient avec un nouvel album intitulé
« Kamikaze à mi-temps ». A la fois lumineuses,
graves et généreuses, les chansons qui le composent
touchent, questionnent ou font sourire. Les mots et les
mélodies s’y rencontrent avec une élégante sincérité.
A l’image d’une bande son, les atmosphères riches et
variées, transportent l'auditeur d'un paysage à l'autre,
d'un univers à l'autre. Pour accompagner la voix de
Tomas Grand, guitares, quatuor à cordes, bugle, cor,
accordéon et percussions sont du voyage…
Car il s’agit bien d'un voyage. Des songes éveillés,
un train filant dans la nuit, une île hors du temps…
Contrairement à ce que pouvait laisser présager le
nom de l’album précédent, « Ça commence mal…»
a remporté un joli succès d’estime. Programmé sur les chaînes suisses, il a aussi eu la chance de traverser l’Atlantique pour venir raisonner dans les radios canadiennes.

« Kamikaze à mi-temps » a déjà également reçu un bel accueil. Plusieurs titres étant entrés dans les playlists de la RTS (La Première et Option Musiques) et d’autres radios suisses dès sa sortie en mai 2012. Si Tomas Grand a souvent été qualifié d’artiste discret, de franc-tireur de la chanson, c’est qu’il aime prendre son temps pour composer, peaufiner et réaliser ses albums. Mais s’il apprécie l’obscurité des studios, c’est avec un plaisir non dissimulé qu’il monte sur scène. Ses concerts, empreints de simplicité, sont à son image, sans fioriture. On rit, on sourit, on lâche parfois une larme, on boit un coup, puis on rit à nouveau. On vit. Sur scène, Nicolas Dupraz (contrebasse), Florestan Darbellay (violoncelle) et Jean-Philippe Brun (batterie) colorent le voyage de leur immense talent.

Ce qu’ils en disent
«…en dehors du temps chansons acoustiques pour les extérieurs fauchés par les moissonneuses jolies mélodies pudiques loin de l’électricité atomique…»
Charlélie Couture

«Tomas Grand c’est la chanson française enveloppée de jazz. Un mariage très réussi. Un moment de bonheur»
Le Temps libre

«Timbrés et doux, ainsi se présentent les textes colorés et caressants de ce genevois qui vous emporte avec ses propres compositions au fond de son armoire, à la découverte d’émotions oubliées. Vive la chanson française!»
Garden Party, Genève