De son expérience rock au sein du groupe POC, il y a eu un album autoproduit et des scènes partagées avec NOIR DESIR, DOLLY, EIFFEL, SUPERBUS, WATCHA, SUBWAY, NO ONE IS INNNOCENT, ...

         Puis sous son propre nom Fabien Boeuf a publié 3 albums: « Au dedans » : 2007, « Les premiers papillons » : 2010, « Dans les cordes » : 2015.

         Depuis ce départ en solo il y 10 ans, il a joué en France, Suisse, Belgique, Quebec, avec ALEXIS HK, MANO SOLO, KARPATT, RENAN LUCE, TÉTÉ, PAULINE CROZE, ...

         Sur les scènes, du Rocher de Palmer, du Bikini, de l’Olympia, des Francofolies, du Festi’Val de Marne, Voix de Fête, Musicalarue ... dans des salles Fédurock, des Zénith ou des Cafés Citoyens.

         Pour ce nouveau projet, Fabien Boeuf a crée 11 titres et revisité son univers musical ac- compagné d’un ensemble de cordes original et atypique. Ce dernier est une formule unique avec violon, violoncelle, basse, guitares électriques et acoustiques, et... des cordes vocales pour le chant et la partie rythmique: beat-box.

         La création s’est déroulée lors d’une résidence itinérante en Aquitaine en co-production avec le Rocher de Palmer (Cenon), le Florida (Agen), le Ph’Art (Capbreton).

            L’album « Dans les cordes » issu du projet sort le 2 février 2015.

L'ALBUM

            « Être. Être bousculé. Envoyé dans les cordes. Revenir. Revenir plus fort. Le coeur tient bon. Les coeurs sont bons. La cloche n'a pas sonné. Ou pas assez fort. N'entendre que ce que l'on veut. Que ce que je veux. Des cordes. » Fabien Boeuf

            C'est le 3e album solo de Fabien Boeuf, enregistré dans le bordelais, suite au spectacle « dans les cordes ». Un répertoire entre folk et pop, crée uniquement à partir d'instrument à cordes : violon/violoncelle/guitares/basse et cordes vocales …

            Ici c'est le mélange qui est proposé. La couleur du violon et du violoncelle mêlées à la beatbox réconcilie les bois et l'urbain. Et les horizons des musiciens sont multiples : le classique du violoncelle de Martina, le violon « trad » de Baltazar, le son rugueux des guitares à Damien, la précision de Romain Scotch.